samedi 3 mai 2008

Charlie, à l'approche du bac (c'est la dernière de mes histoires)

Ce n’était pas arrivé à Charlie depuis qu’il avait eu 15ans, il l’avait décidé et ce fut le STOP. Aujourd’hui, il était perdu dans ses pensées, perturbé par ce qui s’était passé cette nuit et en revenait à considérer ce qui avait marché jusqu’ici et qu’il n’avait pu empêcher ce matin là…

Flashback

L’été de ses 15 ans, il avait vu son père partir avec une autre femme qui riait plus souvent au coté de son père que sa maman qui aurait du être à sa place. Il l’appelait « ma collaboratrice » et dans ses réceptions qui n’en finissaient pas, il ne trouvait à l’époque rien qui prêtait à sourire. Tout le monde s’empiffrait de petits fours et de victuailles, de mixtures et d’alcools forts qu’il n’appréciait pas. Et ce déjà parce que dresser ses buffets lui volait sa maman le temps qu’elle organise, prépare et dispose ses mets pour les invités de son père. Charlie aurait aimé une vie plus simple et rêvait de pouvoir et se retrouver plus souvent avec ses parents. « Vivre en famille, c’est ce qui lui manquait pour comprendre ce monde », il se souvenait l’avoir hurlé un soir, peu avant que la décision se prenne. La décision de se séparer. Son père devait rejoindre la métropole pour nourrir ses ambitions, disait-il. Maman appelait ça s’est prétentions. Elle s’opposait à quitter son île, ses Antilles pour faire de la représentation ailleurs. Charlie était son protégé, son petit dernier et elle voulait le voir grandir ici comme les deux autres. Elle l’avait dorloter, cajoler… assurer qu’il serait toujours la pour elle comme elle l’avait toujours été pour lui jusqu’ici.

Son père parti donc à Paris avec « sa collaboratrice » en juin et en Septembre son frère cadet parti le rejoindre prétextant que son cursus universitaire ne pouvait que se poursuivre là-bas. Antoine voulait d’ailleurs tente de vivre avec son père mais assez bizarrement celui-ci avait refusé préférant qu’il habite avec l’ainé de la famille, Francois, à Rennes.

L’été de ses quinze ans, le 26 Aout précisément, Charlie restant seul avec sa mère avait donc compris qu’il fallait malgré lui devenir l’homme de la maison et ranger au placard sa panoplie et son comportement de petit garçon. Il serait appelé à assumer seul des choses de son quotidien si maman devait de nouveau travailler. Le déclic précisément il l’avait eu la nuit suivant son anniversaire. Il avait soufflé les quinze bougies du gâteau et danser toute l’après midi à l’occasion d’une réception que maman avait organisé cette fois pour lui seul. Enfin il avait pensé que celle-ci avait aussi organisé cette fête pour dire au revoir à son frère cadet et à sa vie de femme marié, sa vie de femme de préfet. Il y avait toute sa famille, cette fois réunie pour lui. Ses deux frères qui rentraient le lendemain sur Paris, ses tantes, ses cousins, ses copains. Pas son père… lui était «excusé », il avait envoyé un ordinateur portable en guise de cadeau pour que Charlie compose sa musique, joue aux jeux multimédia, fasse ses études et accessoirement utilise Internet pour dialoguer avec lui. C’est ce qui était écrit sur la lettre qui accompagnait le colis, une feuille A4 tapé dans un traitement de texte, imprimé et même pas signé de sa main. Charlie avait oublié vite le sens de ce cadeau et avait profité de cette après midi jusqu’au couché de soleil sur la plage de St Anne. Il avait bu les jus de fruit préparé avec amour comme s’il pouvait s’en rendre ivre et il avait zouker avec tout le monde. Sa tante Jasmine avait même dit « Charlie, est une petite fleur qui vient d’éclore »…Il a été difficile de s’endormir parce que difficile de se calmer et difficile d’admettre que demain tout serait autrement. Fatigué, du sommeil du juste, il s’était pourtant sur son lit qui l’avait vu grandir en regardant les étoiles.
En pleine nuit, il s’était réveillé parce que un véritable geyser l’avait inondé jusqu’au visage. Et il se retrouvait à 15 ans au creux de son lit mouillé sur le torse et tout autour de la taille. Rien n’avait changé, tout devait changer pourtant. Il se leva et cette fois tira les draps. Il culpabilisait de ne pas avoir pris le temps de se laver les dents et prendre dans l’armoire de toilette les change complet avec lequel il avait grandit. Cette fois il tira les draps pour les mettre dans la machine à laver. L’alèse avait joué son rôle et le protège matelas imperméabilisé compléta de remplir le tambour de la machine. Il ferma donc la machine en y jetant son tee-shirt. En temps normal quand cela arrivait parce qu’il avait oublié, parce que la couche avait glissé ou parce que le dispositif de nuit avait fuit, il se contentait de glisser du lit et de dormir par terre en attendant le matin que maman s’occupe de tout. Certaine fois il faisait une deuxième fois sur la descente de lit. Se rappelant ces événements, il choisit de prendre une couche, l’ajusta autour de sa taille et la fixa autour de sa taille pour terminer sa nuit directement allongé sur le matelas. Là encore il eut du mal à s’endormir de nouveau…il avait quinze un et un jour et il était toujours le bébé de maman et mouillait encore son lit un jour sur deux. Cette nuit là, il avait bu trop de jus et le médecin qu’il voyait régulièrement le jeune ado avait dit qu’il fallait « limiter les boissons après 18h, tu as une petite vessie et ne fabrique pas suffisamment de vasopressine » Par conséquent il fallait attendre qu’il grandisse et en attendant « Pense à faire une bonne miction avant de te coucher, à défaut prends des précautions pour le confort de tous »
Il réveilla encore ensuite et plus tard dans la nuit. Cette fois, il fonça à la salle de bain. Ses intestins le tordaient et il eut juste le temps de glisser la couche sur ses talons avant d’en essorer le contenu. La situation n’était pas désespérée mais presque. Il remonta son lange et l’ajusta avant de refaire le chemin inverse, pensa à mettre du déodorant avant de quitter les lieux …puis tomba nez à nez avec son frère aîné François qui appréhenda très mal la situation. Il venait de rentré d’une dernière sortie avant de repartir en France, avait pas mal fumé avec ses copains locaux et avant de pouvoir trouver le sommeil avait été alerté par les petites foulées de Charlie puis par l’odeur qui maintenant hantait le couloir. François remarqua d’abord le tambour de la machine ouvert avec les draps et le tee-shirt sentant le pipi. Puis il considéra la tenue de son frère « non mais j’hallucine, tu as encore une couche sur le cul à 15 ans, je pensais que ça t’était passé et en fait c’est de pire en pire tu te chie dessus maintenant … ? » Charlie n’avait pas pu contrer cette attaque frontale. Il tentait de justifier qu’i ; n’avait pas salit son change mais que dire déjà de ce que François tenait entre ces mains (le tee-shirt mouillé d’urine), qu’elle différence ça faisait ? François embraya « … tu m’étonnes que papa se casse au contact d’un tel dégénéré dans un pays trop petit et trop étriqué » avait il dit tout en se dirigeant vers sa chambre et en laissant tombé le tee-shirt sur le sol. Il ferma la porte en ajoutant « et puis ça pue ici fait quelque chose ». Sous la colère, Charlie s’effondra en larme et il s’asseya en face du tee shirt flanqué de l’inscription « « . là , il dit stoppe.

Ce dernier incident et cette culpabilisation l’aida a grandir. Il mettrait en pratique les conseils du docteur mais n’accepterait plus l’achat de change complet. Il ferait d’ailleurs les courses avec sa mère et n’imaginait pas poser un paquet de change dans la caddie, quelquefois qu’on rencontrerait quelqu’un de leur connaissance.
Le lendemain l’incident avait été los par leur mère qui protégea une fois encore Charlie des lazzis et quolibets des frangins et ses frères rejoignirent la métropole pour le laisser seul avec maman et les problèmes… d temps en temps ils donnèrent de leurs nouvelles à leur mère mais très peu souvent s’inquiétèrent sur son sort.

Pourtant il assuma et se transforma un peu….

Retour de flashback

Aujourd’hui, deux ans avait passé et avait permis de se forger un caractère et une nouvelle vie au coté de sa mère alors pourquoi ce matin y’avait il eu cette panique. Sa mère était venue le réveiller avant de partir au travail à l’hôpital. Elle était devenu aide soignante et profiter des relations de son mari de préfet pour travailler dans l’hôpital le plus proche Elle avait même toujours pu prendre la tranche horaire du matin pour être présent le plus possible le soir auprès de son fils. Il avait juste le temps de rabattre la couette légère sur lui en l’entendant marcher dans le couloir et avant d’entrer dans la chambre. Il lui disait souvent désormais de frapper avant d’entrer car il avait pour elle un peu plus de pudeur et en clair craignait qu’elle remarque ses érections matinales ou ses pollutions nocturnes auxquelles ils s’adonnaient en pensant à diverses choses…Elle lui caressa les cheveux et tenta de lui embrasser la joue. Mais il l’en dissuada en faisant s’emblant de se réveiller « je reste encore un peu au lit.. ». Maman de broncha pas pourtant ils avaient l’habitude de prendre le dernier café ensemble avant de partir. Mais ce matin là, il resterait à la maison pour préparer le bac. L’épreuve de philo approchait, puis les autres… Charlie s’en souciait et maman le savait. Charlie voulait ensuite faire une école d’hôtellerie pour travailler dans un de plus bel hôtel de Guadeloupe, espérait il. Il avait simplement convenu avec son père un contrat qui était « passe ton bac mon fils ».
Après avoir retrouvé ses esprits, il devrait donc mettre ces forces dans la concentration, la méditation philosophique sur l’art, le travail, la passion, la morale. Le lit était mouillé et ce matin là il n’était pas question de plaisir de son âge mais d’une nouvelle inondation a dissimuler…Mais pourquoi ? Il avait rêvé avoir une couche et ne pas pouvoir la retirer et de l’avoir utilisé. De fait il n’en avait pas. Il se leva donc pour laver les draps comme pour cette fameuse nuit qui suivait la fête de ses quinze ans qui le revint en mémoire. Il en avait maintenant 17, 18 bientôt. Des que la porte de la maison se referma il sortit de sa léthargie. Il repoussa la couette qui lui tenait chaud et constata les dégâts. Son urine concentrée lui imposa de se lever vite et à la place de son corps, restait une petit flaque qui très vite disparu. Il enfila une tunique longue qui lui recouvrait le corps jusqu'à la moitié de ses cuisses fines, tira les draps et la couette, roula le protège matelas imperméabilisé qui avait joué son rôle et amena son paquetage dans la machine. Depuis il avait appris à faire la lessive et a faire fonctionner la machine à laver. Avec un peu de chance, la literie serait sèche avant le retour de maman en milieu d’après-midi.

Il prit son déjeuner devant Roland Garros tout en réfléchissant à tout ça. Il adorait ce sport et le pratiquais depuis l’âge de 10 ans avec les encouragements de son médecin, de ses copains et de sa maman qui venait le voir jouer en tournoi quelquefois. Mais tout se mélangeait a cet instant, ces doutes de pouvoir devenir un homme et de pouvoir en faire la preuve dans le sport, car il n’était pas très bien classé, par son instruction car il n’était pas un premier de la classe, dans son corps car si il s’était tout de même un peu développer, il restait de taille moyenne, plutôt fin et de nouveau fragilisé par l’événement de ce matin.

A quoi l’attribuait-il ? La veille il avait étudié pendant que sa mère repassait le linge. Il s’était coucher relativement tôt parce qu’il s’était imposé un rythme de vie équilibré entre révision, un peu de plage et de musique. Il avait été voir sa tante en vélo à St joseph et en était revenu avant 16h avec les poulets que maman lui avait commandé. Cela avait été un dimanche comme il aimait peu car c’était un de ceux ou maman travaillait (1/4). A son retour maman avait vidé les poulets pour les mettre au congélateur et lui avait raconté qu’un jeune patient du service était décédé d’une leucémie. Apparemment cela l’avait émue jusqu’au point de redouter de perdre son fils. Charlie se sentait dans ces moments là essentiel pour quelqu’un et lui promettait de rester pour toujours à ses cotés…Pour la première fois, elle lui avait dit ne pas le croire vraiment et que chacun devait tenter l’aventure. Il en avait été triste mais avait cherché avant tout à divertir sa mère en lui montrant un nouveau pas de danse. Il était désormais de la même taille que maman et faisait régulièrement zouker sa partenaire dans la salle de séjour. Il avait néanmoins repensé a tout ça avant de s’endormir. La mort pouvait les séparer plus tôt que prévu et ce qui était prévu, c’était « jamais ». Etait ce donc cette perturbation qui l’avait poursuivit dans la nuit jusqu’à l’accident du matin ?
La retransmission enchainait les matchs sur les différents courts, Charlie voyait des joueurs très jeunes résister au plus grand. Son préféré était Richard Gasquet, qu’il encourageait… Lui était il possible d’imaginer celui ci pisser au lit à son âge et devoir porter une couche le soir ? Il avait déjà observé ses partenaires de jeu en pensant à ca lorsqu’il avait débuté à faire du tennis. Peut être d’autres garçons du lycée était comme lui ? Le médecin avait dit que 10% des jeunes garçons notamment était énurétique jusqu'à 8 ans et il représentait 1% des jeunes avant l’âge de la puberté. La sienne s’était produite tard mais il avait attribué l’arrêt de ses manifestations nocturnes à sa volonté, celle de ne plus se faire humilier, celle de devenir la jeune homme entre le petit garçon de maman et l’homme qu’on attendait qu’il devienne (son père, ses frangins et les autres…) Il s’installa devant le poste de télévision, un précis de philosophie à la main. Il l’ouvrit à la page du sujet qui était tombé l’an dernier « Pourquoi l’homme doit travailler ? » et aucune de ses réponses spontanées ne semblait convenir. Né d’une mère guadeloupéenne et d’un père breton, il avait une image que familial du travail. Il ne voyait dans la travail que contrainte nécessaire pour s’offrir un confort de vie et perpétuer celui dans lequel il était suffisait. Il n’était pas question consciemment de s’accomplir par le travail même si dans l’absolu il était un garçon qui aimait rendre service. S’endormant sur les théories de Marx sur le sujet, il n’avança guère ses révisons ce matin là. Il se réveilla dans l’impérieuse situation de devoir vider sa vessie. Il parvint à se retenir jusqu’au lieu ou il pouvait se soulager. Une étrange sensation le prit, la panique de ne pas avoir l’examen parce que il prenait conscience qu’il y avait trop a faire d’ici la semaine prochaine en philo, en économie, en mathématique… et puis la panique de redevenir incontinent. Les échéances se faisaient jour, le bac, la vie après avec ou sans maman. Cela dura jusqu'à ce que maman revienne. Il était angoissé et n’avait même pas pensé à étendre le linge… et maman le fit. Elle le questionna depuis la salle de bain ou se trouvait la machine « pourquoi as-tu changé tes draps je l’avais fait il ya quelques jours ? ». Il ne répondit pas. Quand elle apparu dans la salle de séjour elle comprit que la question avait fait craqué Charlie qui pleurait derrière son bouquin de révision. Dans un sanglot il ne pu que bredouiller « je n’y arriverais pas ». Maman ne comprenait pas de quoi il parlait et lui demanda en s’asseyant à coté de lui. Il se blottit alors comme il le faisait toujours, renversa sa tête sur les genoux de sa mère pendant qu’elle lui caressait la tignasse en remontant sur son crane. Charlie ne se calmait pas, il tremblait de tout son corps. Un long silence s’installa…puis il lui dit qu’il l’aimait qu’il l’aimait vraiment et qu’il ne voulait pas être un poids. Elle ne comprenait pas. Il lui expliqua qu’il ne voulait pas qu’elle meure et qu’il était partagé entre grandir et rester comme ça. Elle lui expliqua alors que personne ne pouvait s’empêcher de vieillir et que ca lui arriverait à lui comme à elle. Il accepta ce constat puis libera un peu plus sa conscience. « J’ai salit mon lit ce matin.. C’est pour ça les draps ». Il n’était pas sur la même longueur d’onde comprenant ce qu’elle avait déjà constater en changeant le draps housse de son fils, elle lui répondit « bah tu vois c’est que tu deviens un homme, d’ailleurs je le remarque jour après jour , j’ai d’ailleurs acheter des draps de couleurs clairs pour remplacer les tiens ». « Non tu comprends pas maman. J’ai pisser au lit, je te dis… je me suis pas rendu compte. Ca n’a rien a voir avec de la semence de jeune male en rut » Sa mère le regarda avec les yeux qui brillait car les propos de Charlie était à la fois rudes et touchant. « T’inquiète pas ce n’est qu’une manifestation isolée. Ca fait maintenant longtemps que tu as franchit le cap… ». Oublie ca tu es un peu stressé par les examens vient plutôt m’aider à préparer le repas… Charlie s’exécuta, ce soir on mangerait le colombo de poulet qu’il aimait tant.
On ne parlait ni hôpital, ni bac, ni de l’incident de ce matin de toute la soirée. Charlie lisait ses notes de cours pendant que maman lisait un livre sur l’art des massages.
De temps en temps la discussion était déclenché par la lecture de l’un ou de l’autre. Des réponses brèves aux questions tombaient à « peut-on vivre sans passion » « bien sur que non ma passion c’est toi répliquèrent ils en cœur». Elle expérimentait l’art du massage sur la plante des pieds sur son fils qui d’abord les qualifia de chatouilles et ensuite y prenait gout.
Puis ce fut le moment de se coucher, maman vit que Charlie était préoccupé de nouveau en se brossant les dents. Elle le laissa un instant seul dans sa chambre et avant de rejoindre la sienne, elle vint embrasser son fils. Il lui répondit bonne nuit sans le ton habituel. C’est alors qu’elle lui proposa « j’ai conservé dernier sac de couche. Si ca peut te rassurer … ? » Il se retourna vers elle, pensa un instant dire non puis se ravisa… « tu es sur que ça ne va pas être au contraire un facteur d’aggravation » il n’y a que toi qui voit. Amène les… et maman revint avec le sac de Pampers junior qui avaient un peu jaunit. Il en restait 3 dedans avec quelques culotte plastique que Charlie avait mis autrefois quant il était plus enfant. Je te les pose la tu en fais ce que tu veux » Charlie reprit donc connaissance avec ses culottes fermées « de torture » dans lesquelles il ne pourrait pu rentrer. Une culotte a pression trop petite. Puis il développa un lange. L’ennui était que sur le paquet était écrit 20 à 35 kilos et que désormais il en faisait 52. Pour autant Charlie les essaya. Il n’arrivait pas à fermer la couche mais entreprit de mettre un slip de bain par-dessus et cela ferait l’affaire. Il s’endormit comme ca. Au lendemain al couche perdue dans un enchevêtrement de couette et de vêtements et le dispositif n’avait pas été efficace. Quand maman passa la tète Charlie était endormi, cul nu apparemment au sec. Elle le réveilla, il paniqua cherchant désespérément sa couette et dressant rapidement un état de la situation. Il était au sec, non en érection comme souvent le cas le matin et tout allait bien. Il se leva et bu son déjeuner avec maman. C’est elle qui prit l’initiative de dire « je sais ou trouver des changes pour adulte a l’hôpital ? je t’en ramènerais par précaution »

Charlie était rassurer il rangea sa chambre et parti réviser sur la plage. Le soleil lorsqu’il n’était pas trop haut dans le ciel lui convenait très bien et il avait envie de nager un peu. Il y avait peu de monde et il pouvait s’adonner à son drôle de jeu qui consistait à nager sans maillot à l’abri des regards indiscrets. Il alla plusieurs fois prendre un bain de soleil entre quelques révisions sur son programme d’histoire/géographie. Il faisait des impasses sur la Russie et les guerres mondiales mais il s’intéressait à l’histoire de la IV e et V e république et de ses colonies, aux états unis et à la chine. Il aurait voulu approfondir la question de l’esclavage et l’émancipation des peuples, du tiers et du quart monde. Il revenait essoufflé d’avoir joué dans l’eau a faire quelques culbutes. Dans l’eau il se sentait en harmonie avec son corps. Sous les palétuviers, les palmiers il se sentait bien. Ce matin là aussi il s’endormit. A son réveil les alizés tournaient les pages de ses cahiers et les pages du livre d’histoire. Un garçon l’observait et l’aborda « tu révises ? » Il répondit qu’il essayait parce que c’était pas évident entre la télé, la musique, le soleil… il expliqua à ce jeune métropolitain en vacances que sur ile tout est différent et que ce qui peut être important la bas l’est peut être pas autant ici. Le jeune garçon lui dit être en vacances et que c’était que l’an prochain qu’il passerait le bac de francais. Il sympathisa et offrit un sorbet coco son benjamin en sortant de la plage. Le gamin le raccompagna jusque chez lui car il habitait a 50 m de chez lui le temps des vacances chez sa sœur. Il lui proposa de venir le chercher demain pour aller à la plage. Charlie lui répondit « ok, si je suis courageux ».
Charlie n’avait jamais eu le regard sur quelqu’un plus jeune que lui. Le gamin était certes très différent de lui mais il s’était senti en confiance avec lui. Il continua ses révisions toute l’après-midi jusqu’au retour de maman. Il devait aller aux courses ensuite avec elle.

Il lui raconta sa journée sur la route du supermarché. Il allait à pointe à pitre pour un ravitaillement complet. Charlie avait besoin de céréales et de barres chocolatées pour les examens etc.…Le caddie était plein. Il ne manquait que les produits d’hygiène corporelle et les sodas. Il resta un temps a choisir les rasoirs qu’il lui fallait pendant ce temps maman alla chercher ses propres produits et toucha un mot a Charlie sur le fait qu’il vendait ici des produits pour l’incontinence style pull up et même coquille Tena plus discrètes si besoin. Charlie refusa d’en acheter. Il fila aux sodas en rappelant ce que sa mère lui avait dit ce n’est qu’un petit événement et il lui rappela que cette nuit tout s’était bien passé.
En rangeant les courses dans le coffre, il constata que sa mère avait pensé à mettre deux cartons pour ranger et porter les courses ensuite. Il allait pour les ranger dedans lorsqu’il comprit qu’ils n’étaient pas vides. L’un était en fait un carton de deux sacs de couches adultes nuit et l’autre d’autres couches en vrac de différentes tailles et couleurs. Constatant son embarras elle se justifia en disant qu’elle les avait récupérer dans la chambre d’un malade qui en avait plus besoin et que sa collègue lui ayant demandé pourquoi elle les prenait, lui en avait donner un carton complet. Voila donc que Denise était au courant de son problème de l’autre soir. Il monta dans la voiture vexé et n’ouvrit pas la bouche avant d’arriver à la maison. Le gamin jouait au cerf volant lorsqu’il se garait devant la porte « A c’est toi Charlie ? Ca va ? Bonjour madame… » Charlie commença a retirer les courses du coffre pour les monter a l’étage au il habitait et le gamin proposa d’aider, ce que maman accepta. Elle pris le carton d’échantillons qu’elle compléta des légumes et de quelques conserves et confia l’autre au gamin. Charlie avait pris les devant et ouvert la porte lorsqu’il comprit que le colis que tenait en main son compagnon de plage était gênant. Il demanda ou le poser et maman répondit « dans la chambre de Charlie ». Elle posa le sien dessus repris les légumes et conserves et se dirigea avec ces éléments dans la cuisine. Or une couche dépassait du carton. Charlie ferma la porte et contenait sa colère.
Il sorti dehors et proposa au garçon de l’aider a manier son cerf volant. Il avait l’expérience des alizées. Pendant une demi-heure il s’amusa à initier son jeune voisin pour dompter les courants aériens. Il apprit que celui-ci s’appelait Romuald et sœur et beau frère était gendarme muté depuis quelques mois en Guadeloupe et qu’ile venait en vacances pour en profiter. Maman appela pour manger et la sœur de Romuald cherchait son frère partout. Ils rentrèrent donc tous les deux en se rappelant que demain ils se retrouvaient sur la plage.
Le repas fut vite fait cette fois et Charlie au dessert demanda à sa mère de faire plus attention que son copain de plage n’avait pas a savoir ses petits secrets.. Elle le prie de l’excuser et lui dit qu’elle avait cru bien faire en lui rapportant des changes adaptés. Que c’était pour son confort et que c’était très bien s’il en avait pas l’utilité. Elle rigola en lui disant que c’est « peut être elle qui les mettrait dans ces vieux jours ». Il n’osait pas répondre. Sa maman était éternelle et ne pouvait pas vieillir et d’un seul coup les couches passaient d’accessoires de puériculture à instruments de gérontologie.
Il se dirigea vers sa chambre l’âme en peine. Sa mère n’était pas fier d’elle. Elle repensa à Charlie à l’âge de Romuald, les choses étaient plus simples. Charlie avait grandit c’était indéniable. Et les couches trahissait sa transformation depuis quelques années, s’il fallait en apportait la preuve. Mais ca elle le savait déjà même si Charlie avait plus souvent récupère les ancienne fringues de ses frères qu’il n’avait été exigeant sur l’achat de vêtements pour accompagner son développement. Elle s’assit devant la télé en continuant son ouvrage de patchwork en tissus créole. Elle tournait quelquefois la tête pour vérifier que Charlie était toujours dans sa chambre en train de réviser. La lumière était faible et elle entendait un fond musical qui montrait que Charlie veillait.

Il ressortit de la chambre dans sa tunique mouillée, une couche dans la main droite. « Explique-moi comment elle se fixe » lui demanda t’il pour tout commentaire. Elle lui demanda de s’allonger sur le canapé et sa maman le langea. La couche de marque attends comportait un dispositif a fixer autour de la taille avant de rabattre le volet et le fixer par deux adhésifs. C’était très pratique pour ouvrir la couche et l’ajuster lui dit sa maman. Elle lui confia que elle faisait la toilette de beaucoup de gens le matin et par conséquent avait garder l’habitude de lange et des petites manifestations au moment du change. Cette couche lui allait très bien mais il fallait réparer l’accident. Elle lui demanda donc ce qui s’était passé. Il s’était simplement endormit sur son lit avec son bouquin en pensant aux dernières heures de la journée. Et le schéma s’était répété, dans son rêve il était avec Romuald et il jouait dans l’eau, le portait sur ses épaules et le lançait dans l’eau. Et c’est au moment ou il montrait a Romuald son jeu préfère nager sans maillot qu’il s’était réveiller « … c’est marrant de pisser dans l’eau directement… » et vlan le lit était aspergé… Sa mère le rassura « écoute garde cette couche cette nuit, tu es perturbé, ça reste notre secret et on verra ça demain. Je vais chercher les draps secs sur le balcon et on va lancer une lessive que tu étendras demain matin. Le lit étant fait Charlie trouva ridicule de rester en simple couche. Il enfila donc un pyjama et rejoignait sa mère sur le canapé. Une émission en langue locale sur l’intégration des haïtiens et l’augmentation du flux migratoire qui faisait augmenter la population en forte dépendance sociale captiver l’attention. Charlie se releva pour aller chercher de quoi boire, il voulait se faire un lait au cacao et se le prépara dans son biberon. Sa mère lui dit « tu exagères » ce a quoi il répondit « au point ou j’en suis. Tu te rends compte je m’endors n’ importe où et je peux me pisser dessus… » « Fais moi confiance, mon fils tu n’es pas le seul et ce n’est pas la maladie ça. Profite du temps présent et tu as de quoi passer tes épreuves et tu verras que tout ira mieux après… » Il partit se coucher après avoir terminé son biberon à coté de maman. Elle en profitait pour cajoler son fils et le caressait inconsciemment comme quand il était enfant. Sur le tee sur son torse et même sur son entrejambe. Elle lui claqua sur le cul lorsqu’il se décida a rejoindre son lit tombant une nouvelle fois de sommeil en face de se documentaire dans une langue qu’il avait plus de mal a suivre, même s’il avait été en partie bercé avec.

Le lendemain il se leva sans même y penser et rejoignit sa mère dans la cuisine. C’est la qu’il pensa a la couche. Il inspecta l’indicateur d’humidité qui lui révélait qu’il s’était oublié dedans ou bien qu’il avait beaucoup transpirait. Peut importait il avait eu une bonne qualité de sommeil. Après le déjeuner il se changea et remarqua que sa couche était pleine d’urine mais avait aussi de plaisir qu’il avait sans doute eu à dormir ainsi. La couche tomba sur le sol et il resta nu à contempler les traces dans le lit. Manifestement la couche avait fuit. Ce soir il en essaierait une autre. Il jeta la couche dans la poubelle de sa chambre et enfila son maillot de bain. Il profiterait de son premier bain pour se laver dans l’eau salée. Il était 9heure déjà et Romuald sonnait à la porte avec un ballon et sa serviette de plage. Il attrapa la sienne et le rejoignait. En descendant celui-ci lui fit remarquer qu’il n’avait pas pris de bouquin pour réviser et que s’il voulait il pouvait l’aider a réviser… il se demandait comment Romuald pouvait lui être utile autrement que de lui rappeler qu’il avait a réviser. Il fouilla dans sa chambre pour trouver ce qu’il allait emmener pour bachoter…Romuald le suivait. Ils partirent à la plage et partagèrent une tranche d’amusement aussi forte que dans son rêve de la nuit. Il se séchèrent au soleil puis allèrent à l’ombre se consacrer a leur lecture de plage. Romuald se coucha sur le dos et lisait un livre de poche et Charlie son abrégé de sciences économiques. Manifestement c’était plus plaisant de lire le bouquin de Romuald que celui de Charlie car rapidement Charlie éprouva le besoin de repartir à l’eau pour éviter de s’endormir a nouveau ce qu’il ne voulait pas risquer devant son nouvel ami. Romuald se fit attendre et quand il se leva il remarqua que Romuald était en semi érection. « Ah je vois…tu étais entrain de mater » « rien du tout lui répondit-il, Ca arrive c’est tout… » Charlie ne chercha pas à comprendre et Romuald rentra dans l’eau rapidement pour dissimuler rapidement son état. Ils firent quelques mètres au large avant de retirer leur sous vêtement de plage comme lui avait appris Charlie. Et la ils firent encore quelques culbute dans l’eau, allèrent chercher du sable en apnée de plus en plus profond puis se firent couler l’un l’autre. Et puis il reprirent pied. Romuald tenta de faire tomber Charlie et les deux jeunes se chevauchèrent Charlie tenta de se dégager mais Romuald le tenait, il en profita pour l’embrasser et se releva.
Charlie « pourquoi tu as fait ca ? »
Romuald « je ne sais pas … tu as une énergie que j’avais envie de récompenser»
Ils regagnèrent le rivage et s’allongèrent cote à cote pour reprendre leur souffle. Charlie était perplexe, il voulait se cacher, oublier alors que Romuald ne semblait absolument regretter. Il expliqua que dans sa famille quand on s’apprécie on se boujoute et Charlie expliqua que chez lui seul sa mère lui donne de l’affection. Romuald compris que Charlie semblait quelque part le regretter. Charlie ne répondait pas. Romuald lui demanda si ca l’avait déçu. Charlie répondit que non. Romuald temporisa puis le demanda s’il pouvait l’aider … ils parlèrent donc économie une heure ou deux… puis ils répartirent à l’eau avec le ballon de plage. Qu’ils habillèrent du short de bain de Romuald. Ce ballon jouait le rôle de but a atteindre et pour le premier arrivé dessus de bouée pour pouvoir récupérer de l’effort des quelques mouvement de natation réalisé. Romuald semblait prendre l’ascendant et au troisième objectif Charlie aurait aimé reprendre son souffle. Romuald lui dit alors rend moi le baiser de tout a l’heure et on est quitte. Charlie hésita puis lui Renda et s’agrippa a lui. Dans le mouvement Romuald prolongea le baiser et enlaça Charlie. Romuald plus fort que Charlie bien qu’un peu plus jeune avait Charlie a sa merci. « Lâche-moi maintenant lui dit Charlie. Charlie s’éloigna puis revint prés de lui dans l’eau transparente il était évident que Romuald éprouvé du désir même dans l’eau. Charlie se laissa de nouveau attraper et lui aussi commencer a bander. De nouveau sur la plage ils rénettèrent leur maillot de bain Romuald lui dit le premier « excuse moi c’était pour rire tu sais… » et Charlie ne savait plus comment le prendre. « C’est mon livre qui me donne des idées ca parle de deux jeunes ados qui tombe amoureux l’un de l’autre alors qu’il s’emploie à trouver une fille a draguer dans la campagne ou ils se trouvent. Charlie lui demanda s’il comptait tout exprimer comme ca car en parcourant le livre la description était pour le moins prometteuse. Pour toute réponse il eut « ca dépend de toi ! » et Romuald posa alors sa main sur la fesse gauche de Charlie.

Charlie se décala et lui dit qu’il avait à étudier et qu’il pouvait jouer avec son cerf volant. Romuald fixa ses yeux dans ceux de Charlie lui rétorquant qu’il n’était plus un enfant et qu’il savait très bien ce qu’il avait à faire. Il resta là replongeant dans son bouquin et un silence s’installa entre les deux garçons. « Tu es malade ? » demanda Romuald à Charlie ? Charlie secoua la tête. « Non mais je bosse le bac c’est la semaine prochaine et je ne suis pas encore en vacances moi » Romuald « ah bon, je croyais… ». « Non mais arrête de parler j’ai besoin de me concentrer c’est la 5eme fois que je relie le même paragraphe ». Alors Romuald se leva et essaya de mettre en pratique les règles appris la veille pour faire lever le cerf volant au ciel… Charlie le regardait. Il évoluait dans dans son slip de bain a rayure blanche et rouge et le des lors que le cerf volant avait pris son envol s’appliquait à faire des figures a genoux dans le sable. Quelquefois le cerf volant retombait et il dut aller le chercher dans un groupe de jeunes que connaissait Charlie mais qui n’était pas concerné par le bac. Un jeune mec avec un bandana lui aussi regardait Romuald avec un grand sourire. Charlie ramassa ses affaires car il avait fin. Apres tout Romuald pouvait continuer il fallait qu’il pose son regard ailleurs. Romuald remarquant que son nouvel ami partait l’interpela « attends un peu, je me rince et j’arrive. Romuald fit un plongeon dans l’eau, alla chercher sa serviette de bain et rattrapa Charlie. « C’était a moi de payer le sorbet coco… » Mais Charlie avait dépassé les vendeurs et n’était disposé à faire demi tour. Romuald marchait pied nus plus difficilement que Charlie car il avait moins l’habitude. Il se blessa et s’arrêta. Charlie continue.. Ralentit puis se retourna pour finalement revenir au niveau de Romuald. « tu vois, pour moi tu peux faire demi tour… j’ai envie d’une boule coco, vient après je te laisse tranquille. De toute façon ma sœur et mon beau frère ne sont pas là. Je devais manger sur la plage. » Charlie tendit la main a Romuald qui s’appuya sur lui en profitant un peu. Mais Charlie ne le sachant pas lui dit qu’il y avait plus rapide à aller chez lui maintenant pour voir s’il pouvait soigner cette petite coupure. Les deux jeunes se rendirent donc chez Charlie. Il laissa un instant Romuald sur le canapé du salon pour aller chercher des produits de désinfection dans la pharmacie…Charlie cherchait l’eau oxygéné et un peu de teinture d’iode pour soigner le pied de son ami. Romuald se releva et remonta sur un pied plus assuré le couloir et en passant eu une première confirmation de ce qu’il avait aperçu tout a l’heure. Le lit était défait de Charlie, 2 modèles de couches atteints sur la table de chevet et une usagée dans la corbeille. Il entra rapidement dans la chambre pour découvrir les auréoles jaune clairs laissé sur le protège matelas par la fuite de cette nuit. Romuald en fit une déduction rapide et simple tout seul. On le voyant sortir de sa chambre Charlie l’apostropha « Oh,… ». Romuald surpris de tombé face à face avec son ami avec les produits de désinfection dans les mains l’interrompra « .. je te cherchais. Je te croyais dans ta chambre… » Non, sors de là et vient me rejoindre sur le canapé. Pendant que Charlie lui examinait le pied, Romuald lui caressait les cheveux un peu comme sa mère lui faisait. Il lui demanda alors « si tu es pas malade pourquoi y’a des couches sur la table de chevet ? » Charlie rétorqua que c’est sa mère qui les avait rapporté, qu’elle était aide soignante et que il les avait enlevé du carton de courses dans lequel ils étaient. Qu’il fallait qu’il les lui rende. « C’est étrange » Charlie était sur la défensive, parce que y’en a une aussi dans la corbeille à papier et… « Bon c’est bon. Vas-t’en. Je t’ai désinfecté… tu poses trop question et tu as pas a fouiller » Romuald se leva et Charlie le poussait vers la porte d’entrée maintenant. Romuald marchait tout a fait normalement quand Charlie marcha sur son pied et chuta avec lui dans la couloir. Romuald s’en amusa et l’embrassa une nouvelle fois. Seulement il ne laissa pas Charlie reprendre l’initiative des joutes verbales qui depuis ce matin n’allait pas dans le sens de leur amitié simplement parce qu’il avait fait comprendre a Charlie qu’il en attendait bien plus. Romuald lui dit alors « moi aussi j’en ai porté des couches jusqu’a tard et j’en ai encore besoin quelquefois… » Charlie était gêné « .. Mais moi j’en porte plus c’est juste que…; enfin avec les exams…. » Romuald mis le bras autour du cou de son ami et l’embrassa alors comme il le souhaitait. C’était pour Charlie son premier baiser et tout se suite après sa première étreinte. Romuald, lui, devait certainement avoir plus l’habitude. Les deux garçons se donnaient des coups de langue… le téléphone sonna. C’était la mère de Charlie qui voulait savoir si tout allait bien, si il avait vu son ami a la plage et si il pensait a réviser. Charlie lui répondit qua par Oui. Elle lui annonça qu’elle serait la que vers 1ç h car elle passerait chez a tante avant de rentrer. Il fallait qu’il profite pour travailler. Charlie bandait dans son maillot bleu marine et son sexe semblait vouloir franchir la barrière du cordon serré qui empêchait que celui-ci prenne l’aire. Romuald était sur le canapé dans le même état. Charlie ne savait pas trop comment faire… il se rapprocha de Romuald, s’assit et chercha de lui-même un nouveau baiser. Romuald toucha son sexe le fit sortir de son réceptacle et le manipula un peu. Il s’arrêta et demanda à Charlie d’aller dans la chambre s’il voulait poursuivre parce que la porte fenêtre donnait sur la rue. Charlie tira alors les rideaux et emmena Romuald dans sa chambre… La ils découvrirent le plaisir de la masturbation commune. Cela s’acheva assez rapidement par quelques éclaboussures sur le matelas et sur le visage. Romuald poussa jusqu'à récupérer son sperme et celui de son compagnon pour voir s’il avait le même gout. Les yeux de Charlie brillaient de nouveaux feux allumés par Romuald.

Charlie demanda s’il faisait souvent ça. Romuald lui répondu à coté de la question « aussi souvent que possible, quelquefois 2 à 4 fois dans la journée » Charlie compléta « .. non je veux dire avec des potes, … » « Ah, eux non en fait, j’ai un copain en France avec qui on s’entraine a celui qui va a l’extase le plus vite mais ça en reste la… » il continua encore voulant meubler le silence dans lequel Charlie se murait « … avec toi j’ai senti que ca pouvait être différent, plus ludique et plus construit… ». Charlie sorti du lit «.. Mais je ne suis pas un pédé ! » Romuald garda son calme « .. on est pas obligé d’appeler ca comme ça.. disons qu’on a pris notre pied a deux … et que ca va t’aider a étudier maintenant. » « As-tu voit ca comme ça toi ? » 3 bah oui tu le voyais comment toi … ? »

Charlie ne savait plus.

Romuald porta alors la main sur les deux couches restées sur la table de chevet. Il en ouvrit une… ». Elles semblent confortables, les mienne le sont moins… Arrête tes conneries tu dis ca pour m’emmerder. J’ai eu un problème l’autre soir et ma mère a cru que je me remettais à pisser au lit…alors … » « l’autre soir ou cette nuit ? » Charlie lui expliqua alors… il tournait ça en dérision. Ul demanda a Romuald jusqu'à quand il avait été énurétique. Romuald lui répondit « jamais… j’ai été propre comme tous les enfants simplement j’ai du en reporter pour faire suite à une opération. Il expliqua qu’il avait eu des diverticules… et que il perdait un peu ses selles facilement lorsqu’il était en crise. » Donc toi aussi tu as des couches vraiment… » Bah oui si je te le dis mais elles sont plus légères que ça parce que ca pouvait lui demander en crise de les porter en journée. Tu sais c’est un peu comme des serviettes pour les filles de plus gros format… » « Mais ca t’arrive souvent ? » « En fait non, pas depuis plusieurs années » Romuald avait été opéré à 10 ans et il en portait une trace discrète sur le cuir de son tambour pectoral. Il avait du se séparer de 60 cm d’intestins et depuis il ne lui arrivait plus de faire « caca dans sa culotte », comme on lui disait à l’école. Il avait pu alors suivre une scolarité moins décousu et rattraper son retard de la primaire 52 redoublement) et plus jamais redoubler de classe. Mais lorsqu’il avait un colite il reprenait le reflexe de mettre une protection dans son slip.
Tu veux bien m’en mettre une. Romuald avait déjà déplié une des couches blanches pour la mettre. Il demanda de l’aide à Charlie qui se rappela de la scène de la veille avec sa mère qui l’avait langé. Il glissa la couche sous les fesses de son ami, la remonta jusqu'à sa taille et la remonta sur son membre revenu au repos. Il sera à la taille avec les adhésifs. Il y en avait 3 de part et autre, ce qui l’étonna. La couche montait haut, semblait ajuster mais l’épaisseur semblait importante. Son ami avec une vrai allure de bambin avec un postérieur bien rembourré. Il dit a Romuald qui ne les connaissait pas et Romuald n’en attendait pas tant pour lui proposer de les essayer. Charlie ne voulait pas abuser.. pas en pleine journée mais Romuald se leva avec sa couche et demanda a Charlie de prendre sa place sur le lit. Il leva les jambes de Charlie pour le mettre en position du lange. Charlie ne broncha pas… il accepta de Romuald cette intimité parce que lui aussi portait des couches et pouvait comprendre. Sur Charlie la couche contrastait sur sa peau métissée. Le sexe de Charlie reprit vigueur dans cette couche en constatant que celui de Romuald lui aussi reprenait force. Il arrivait a faire bouger la couche sans les mains en contractant les muscle de son périnée. Romuald se frotta sur Charlie en lui proposant de rester ainsi cette après midi. Charlie hésita puis accepta se rappelant que sa mère rentrait tard. Il partagea son repas avec Romuald et lui prêta une tunique. Seul les deux grands bambins savait que leur cambrure n’était pas naturelle celle de Charlie naturellement cambrée était fantastique. Romuald lui dit plusieurs fois. Ils mangèrent le reste du colombo de poulet puis se câlinèrent. Charlie regardait dans le miroir de la salle de séjour le petit couple de grand enfant qu’il faisait avec son camarade de couche et regretta de ne jamais avoir eu un frère comme lui. Il se mit a la table pour réviser et laissa Romuald devant le tennis. Romuald s’endormit se qu’il trouva touchant. Il observait sa couche et la sienne. Elle semblait confortable pour les deux…et ca le faisait délirer. Il était content ce jour la d’en porter une simplement parce qu’il partageait ce secret avec quelqu’un comme lui et puis Romuald avait élargit son horizon des possibles. Il alla cherchait la bouteille de coca et continua d’une traite ses études des sujets du bac. Une grosse heure passa avant que Romuald reprit conscience. Il dit que les balles de tennis l’avait endormit qu’il préférait le basket ou le football. Charlie se retourna vers lui et lui sourit… La position de Romuald faisait apparaître sa couche sous la tunique. Pour la sienne elle apparaissait que a travers d’une déchirure dans le tissu au niveau de sa taille Romuald se leva pour a son tour boire du coca. Il passa la main sur le torse de Charlie pour ensuite descendre vérifier si sa couche était toujours la. La tienne est sèche mais moi je l’ai mouillé. Il leva la tunique mais l’indicateur d’humidité même n’avait rien trahi. La couche était épaisse et avait absorbé ce petit plaisir dont voulait parler Romuald. Charlie vérifia dans le molleton de la couche si c’était humide ce qui plut a Romuald… Charlie lança un défit le premier qui fait entraîna le témoin bleu sur le devant de la couche avait le droit de se la faire enlever …Romuald se jeta alors sur la bouteille de coca mais Charlie lui cria trop tard il venait de mouiller sa couche à grandes giclées. Romuald vida la bouteille et garantit de pouvoir en faire autant dans les 1à minutes. Charlie attendit donc de longues minutes. Il voulait voir ça sur un autre et cette attente lui provoqua du désir. A force de contempler Romuald et ne voyait plus le garçon d’hier mais l’homologue d’aujourd’hui. La couche de Romuald commença a se remplir. Les deux gars, la main posée sur la couche de l’autre commencèrent a se masser a travers la couche. Romuald entraîna d nouveau Charlie vers la chambre, retira sa tunique et la tunique de Charlie. Il s’allongea et demanda à Charlie de venir sur lui. Ils se frottèrent et Charlie pensa plusieurs fois perdre contenance, son souffle a chaque fois s’accélérait et Romuald à ce moment lui dit attend. Puis Romuald reprenait le même le scénario, il écartait les cuisses et attendait que Charlie se frotte sur lui. Sexe contre sexe. Charlie remuait son cul dans la couche un peu lourde et Romuald s’offrait a ses coup de butoir couche contre couche. Romuald rigolait mais Charlie ne pouvait plus s’arrêtait. Il se rendit dans un grand « Ah… » Romuald le laissa un instant sur le lit reprendre ses esprit. Il faisait chaud et il fallait souffler. Il ajusta sa couche et se mit a califourchon sur lui et se branla dans sa couche pour lui aussi se délivrer. Ses derniers mouvements furent pour aller chercher les lèvres de Charlie qu’il mordit…. Ils restèrent la enlacés une demi heure inerte sans doute à réfléchir à ce que leurs instincts leur faisait faire. Seule le bruit du ventilateur au plafond s’ajoutait a leur respiration qui était revenu à la normal lorsque Romuald lâcha un Prout qui résonna dans la couche, ce qui les fit rigoler. Charlie se concentra pour en faire autant mais n’obtenait qu’un petit truc foireux. Romuald fit remarqué que ça sentait le pipi mais Charlie était bien avec la tête de Romuald sur son ventre et ne répondait pas. Il laissa Romuald rentrer la main dans la couche humide de Charlie et aller chercher sa verge devenue flasque. Il la remuait dans la couche en faisant remarquer a son ami que celle-ci lui semblait bien inoffensive. Charlie confirma. Il se laissait caresser les bourses. Le matelas de ouate était chaud humide et tapissé de la semence déversé. Romuald se demandait si sa couche était elle aussi remplie car il ne sentait qu’une moiteur légère et rien de plus. Il vérifia alors la sienne mais fit le même constat. Charlie se redressa et examina le tableau des deux adolescents dans leur couche dans le miroir de sa chambre. « Ca fait bizarre… » Romuald lui souriait. « Ouais mais c’était sympa. Je jouis rarement autant tout seul… » Charlie lui confia que il avait appris a se masturber alors qu’il devait en porter et que c’était souvent un facteur de plaisir supplémentaire que dans les WC ou sous la douche ou il aimait bien aussi se branler. Que c’était aussi sans doute parce que il pouvait être surpris dans la salle de bain alors que tout seul avec sa couche personne ne le soupçonnait. Il ajouta maintenant en plus en couche je penserais a toi… » Romuald l’embrassa pour ce qu’il venait de dire. Il plaça la main sur le devant de la couche de Charlie en lui répondant « …je suis encore là tout le mois de juillet tu sais ! » Charlie souffla un grand coup. Il avait a la fois peur et éprouvait du plaisir a l’entendre. Lui revint en mémoire le bac et sa décision de très vite devoir oublier les couches. Ces deux promesses qu’il s’était faites semblaient compromises… Romuald cria victoire car il avait ajouté de nouveau du pipi dans sa couche qui gonflait encore. Charlie se leva et défit les scotchs de sa couche. Romuald le regardait comme un fruit défendu. Le ses de son camarade était plus long que le sien au repos. Il y avait encore du sperme dans la touffe de poil. Charlie encouragea Romuald à enlever sa couche tout en plia la sienne qui alla rejoindre celle du matin dans la corbeille mais Romuald ne semblait pas vouloir la quitter. « Allez dépêche toi si ma mère rentrait et qu’elle te voit ? » Romuald lui répondit qu’il lui avait mise c’était a lui de la retirer… Charlie lui répondit alors de faire ce qu’il voulait, sa mère rentrerait dans 2heures. Il prit un bouquin et pris sa tunique pour s’installer à son bureau. Il l’enfila ce que Romuald trouva très sensuel surtout lorsque la tunique recouvra le cul de Charlie. Il le lui dit. Charlie lui demanda d’arrêter de déconner avec ses trucs de pédé et qu’il s’avait très bien qu’il avait un corps banal. Romuald n’était pas d’accord, il lui dit des choses que jamais il n’aurait cru entendre même de la bouche de sa mère Qu’il avait la peau douce et qu’elle avait un goût sucré salé qu’il appréciait, qu’il avait des jolies cuisses fines qui faisait suite à un petit cul charpenté qu’il aimerait mordiller. Que son visage était celui d’un ange et que ses lèvres étaient une piste d’atterrissage pour les baisers, qu’il raffolait de son sourire, de ses yeux noirs et de son regard profond. Qu’il avait une musculature fine qu’i préférait au mec qui était sur la plage. Charlie se retourna alors « tu es donc pédé et tu l’as regardé mon copain Jocelyn sur la plage ?.. » « De qui tu parles ? » « du mec qui a ramassé ton cerf volant trois fois ?... » « Eh bien dis donc,… tu n’étais pas en train de bosser à ce moment là… t’étais à 100 m de nous ? T’étais déjà jaloux… et pour ton info, il a certes une jolie barrière abdominale mais je le trouve pas à mon goût. Il a les yeux globuleux et un maillot de bain pas bien rempli et pas très classe. Je lui ai fait d’ailleurs signe de le ranger mieux parce que les jeunes qui était avec lui le remarquerait» « Tu veux dire que tu regarde ça sur la plage ? » « Bah il bandait et je ne pouvais pas faire autrement que de le voir… » « Mais c’était de te voir qu’il… « « Comment veux tu que je le sache il discutais avec des potes et des filles un peu plus loin… » Quand je lui ai dit il a souri et ma juste dit « d’aller jouer a mes jeux de pédés ailleurs… Tu le connais ? » « Ouais il était dans ma classe en 4e et 3e mais il ne connaît que ce mot de pédé, il m’insultait à l’époque parce qu’il me sentait fragile. Juste qu’au jour ou je lui ai mis les choses au point. Il n’habite pas loin et il m’emmerdait sur le retour… » Charlie se remémorait alors les moments ou celui-ci le prenait a part sur le trajet du collège pour tenter de le déstabiliser en le touchant et en le traitant de « petit biche ». Charlie revint a ses cours lorsque Romuald ajouta « je pourrais pas avoir envie de lui et être en confiance comme avec toi… » Charlie se retourna alors « Mais tu arrêtes c’est pas parce qu’on se tire une branlette et joue à un jeu nouveau que on est forcement pédé… on est ami… ». « Oui mais pour répondre a ta question, oui je me sens plus pédé au sens que je regarde plus e garçon que les filles qui m’impressionne et oui j’ai envie de toi que ça te plaise ou pas. Ca ne se voit pas… Charlie n’avait pas remarqué que Romuald bandait de nouveau et qu’il se touchait en le fixant de son regard bleu profond et ceci au travers de la couche qui semblait bien chargé. « Mais tu as envie que je t’encule ? ». Romuald répondit que ça pouvait faire parti des choses… Charlie resta muet. « Retire ta couche et va t’en j’en ai assez entendu pour aujourd’hui… » Romuald lui répéta que c’était a lui de le faire. Charlie se leva alors et tenta de la lui retirer violement. Romuald se retira et alla chercher le sexe de Charlie derrière sa tunique. Il se mit à quatre pattes pour relever la tunique et lui sucer le bout du gland très odorant. Charlie essaya alors de retirer la couche de Romuald par derrière sans beaucoup plus de succès.. il recommençait a bander et apprécier ce qui se passait. Romuald mis son sexe dans sa bouche et le sexe gonfla….Charlie se faisait sucer et c’était bon. Romuald lui demanda ce que ça faisait. Charlie répondit du bien… ! » Il continua accentuant le vas et vient. Il appréciait tout y compris la main de son partenaire qui se perdait être ses cuisses, lui caressait les testicules et son cul.
Romuald s’allongea sur le lit et repris sa position sur le dos, il demanda à Charlie a son tour de le sucer. Charlie sortit donc le sexe de son camarade et fit de façon maladroite la même chose mais il salivait beaucoup…. Il préféra de nouveau se frotter sur la couche de Romuald. Qui lui dit de la retirer. Charlie pris dans l’excitation retira la couche et frotta son sexe contre le sexe de romuald. Romuald caressait son ami avec les pieds pris de salive et se masturba Charlie limita. Puis Romuald renouvela l’opération mais se frotta l’anus… Charlie considérant cela comme une invitation s’en approcha. Romuald recula alors et lui dit attend un peu je veux pas que tu me fasses ça direct….Romuald se leva pour caresser le cul de Charlie qui se coucha sur le ventre. Romuald voulu mordillait le cul de Charlie ce qui lui provoqua un frisson. Charlie semblait lui aussi tendre son cul. Romuald se branlait au dessus. En entendant Romuald jouir de quelques gouttes de sperme sur lui, Charlie frotta son sexe sur le matelas et lui aussi déversa son plaisir. Romuald s’étonna que Charlie en déverse encore autant. Il était temps d’aller prendre une douche et les deux garçons se savonnèrent l’un l’autre. Leur complicité se faisait encore plus grande ….

Est-ce qu’il y aurait une limite a tout ça… Charlie préparant son bac n’y pensait plus en regardant son petit frère boire l’eau de la douche et s’amuser avec lui a un combat de zizi….

Ils s’arrêtèrent bientôt entendant la mère de Charlie rentrer. Les deux garçons sortirent de la douche un peu penauds. On pouvait lire sur leur visage à la fois le plaisir qu’ils avaient eu ensemble et un peu de leur culpabilité. Romuald avait à peine remis son slip de bain qui roulait sur ses fesses lorsque la mère de Charlie s’écria « Mais qu’est ce que vous avez fait avec les couches ? » elle avait trouvé les couches pleines jonchant le sol mais par bonheur elle ne les inspecta pas. Elle demanda à Charlie de ramasser tout ça et quelques explications. Romuald alla à son secours en prétextant avoir demandé à Charlie de lui faire essayer parce qu’il les avait aperçu en ramenant les cours hier soir. Et puis Charlie dit avoir avoué ces petits problèmes à Romuald et qu’il lui avait confié avoir du en mettre lui aussi très longtemps…Enfin qu’ils avaient rigolé en buvant toute la bouteille de coca.

La maman de Charlie était un peu surprise mais admis que cela puisse être le cas et tant que Charlie ne semble pas souffrir de la situation cela lui suffisait. Elle s’inquiéta de l’état de révision du bac et Romuald surenchérit en disant l’avoir fait répété sur l’histoire/géographie.
Charlie était à la fois honteux en ramassant les couches et à la fois complice avec Romuald. Il mit les couches dans un sac plastiques, le noua et le mis devant la porte. Romuald sentit qu’il devait laisser Charlie et sa mère. Il salua donc Charlie en lui tapant la main et le remercia pour son accueil et la douche. Sa mère essaya de le retenir « tu bois pas un jus ? » Romuald se laissa convaincre dans un premier temps mais il aperçu alors sa sœur en bas du chemin. Elle était rentrée. Romuald prie alors congé en précisant à Charlie que demain il irait à »la pointe » avec sa sœur. C’était son jour de repos…Charlie ne pu réagir mais déjà lorsque la porte se referma Romuald lui manquait.
Il mit cette journée a profit néanmoins pour avancer dans ses révisions. Le matin il garda toute la matinée la couche qu’il n’avait pas mouillé la nuit Il resta à son bureau et ne s’arrêta pas de travailler même pour un pause pipi. En début d’après midi, il dut se résoudre à en changer parce qu’elle était saturée. C’est à peu prêt au moment ou il l’enleva qu’il reçu un sms de Romuald. Cela disait « C super et sauvage ici. J M 100 seul 100 mon frère créole. Y’a po de reso. J pass te voir tout a l’H ».Il travailla encore sachant que ce soir il retrouverait quelqu’un avec qui partager un peu de ce qu’il était. Il jeta sa couche et en repris une dans le paquet de couche de nuit qu’il avait ouvert parce qu’il savait que c’était les plus épaisses et attendit son ami. Ca mère rentra. Elle prépara le diner sans autre question. Elle appréciait qu’il vienne manger avec sa couche sur lui, elle retrouvait son enfant. Elle le savait pré occupé mais attribua ça au bac et a ses petits soucis de pipi. Charlie attendait Romuald et Romuald ne se manifesta pas ce soir là avant qu’il s’endorme sur la canapé, sa mère lui caressant les cheveux. Il rejoignit son lit avers 23h30, se brossa les dents, regarda son portable et sans signe de vie de son « petit frère », il s’endormit.

Le lendemain matin Charlie fut réveillé par sa mère qui constata que son fils dormait sur le dos les jambes légèrement entrouverte. Elle constata qu’il avait du mouiller la couche mais que ca le rendait heureux. A prêt tout avoir ses érections dans sa couche était de son âge mais elle voyait plus souvent l’absence de manifestation de ce type avec ses patients. Quelques malades lui avaient rappelé son fils quand elle les changeait. Elle le laissa geindre et claqua la porte. Charlie réagit à son départ puis se rendormit. Il lui manquait le courage de la veille pour se lever. Il pensait « peut être l’expérience de l’avant-veille avait peu plus a Romuald et il ne le verrait plus …pourtant c’était lui qui l’avait incité à… » Encore une heure passa… il se tourna et se retourna.

Il n’avait pas entendu Romuald qui l’avait appelé et avait décidé de rentrer par la fenêtre du salon rester entrouverte pensant effectivement que son flémard de copain était en train de dormir. Il s’était assis pour regarder son copain langé dormir en frottant sa couche inconsciemment sur les draps. Il se doutait que le rêve devait être érotique.
Il attrapa une couche dans le sac ouvert par Charlie la veille et la disposa sur lui. Son sexe était déjà au zénith. Il voulait qu’il se calme avant de rejoindre Charlie…l’envie était trop forte et il choisit de rejoindre finalement Charlie pour le réveiller. Il se glissa entre les jambes de Charlie pour lui mordillait le sexe sur le devant de la couche. La couche sentait l’urine de la nuit mais ca l’excitait et Charlie ouvrant un œil sursauta avant de reconnaître son Romuald. Il vint lui embrasser les lèvres et se plaquer sur lui. Charlie lui demanda pourquoi il n’était pas venu hier ? » et Romuald lui dit qu’il était fatigué et avait bu du punch avec son beau frère. Trop saoul il avait décidé de se coucher pour être plus en forme aujourd’hui… Charlie ne répondit que « hum hum… » et Romuald ajouta « aujourd’hui je veux qu’on fasse l’amour en couche, j’ai amené ce qu’il faut ! » Il désigna alors des préservatifs qu’il avait poser sur le siège du bureau de Charlie. Charlie lui répondit qu’il ne savait pas faire ça mais Romuald l’avait décidé et pris une nouvelle fois les devants. Il alla chercher le sexe de Charlie dans sa couche et la sortie par l’entrebâillement de la couche. Il gouta celle-ci et ne fut pas intimidé par l’odeur du pipi. La couche était épaisse et semblait lourde. Romuald aimait caresser ce paquet et Charlie se laissait faire. Tout en regardant son copain faire il caressa son dos puis le derrière potelé de Romuald rebondi de la couche. Il tapotait le lange et le va et vient qu’imposait Romuald sur le sexe durcit de Charlie suivait le rythme. Charlie allongé sur le dos commençait à gigoter pour faciliter Romuald dans l’exercice. Charlie admettait que ce qu’ils se faisaient là n’avait rien à voir avec son sport préféré des matins calme lorsque maman partait tôt. La branlette n’était pas forcement longue alors…Seul dans sa couche il avait appris à jouir. Ces premiers matins où a 15 ans il s’était retrouvé avec ce liquide il avait cherché à comprendre puis il apprivoisa ce désir de se masturber dans la ouate encore humide. La moiteur et le pipi qui coulait jusqu’à son derrière lui plaisait parce que c’était chaud et la couche alors accueillait sa semence en pressant quelquefois un peu plus sur le devant de la couche. Il continua comme tous les ados même sans couche et se donnait à ce jeu jusqu'à 4 fois par jour.

Là son désir était encore plus fort. Romuald passa la main dans la couche de Charlie pour le caresser plus précisément. Charlie fermait les yeux et laissait Romuald fouiller dans le lange jusqu'à quelques points de son anatomie où les deux jeunes garçons se surprirent d’y trouver du plaisir. Cette ultime caresse acheva Charlie et orienta à jamais ses jeux qu’on appelle chez Marivaux de « l’amour et du hasard », le hasard d’avoir rencontré un ami et d’en avoir fait un petit frère de couche.

A suivre

Ma première histoire je l'ai fait sous la forme d'une lettre à un garçon qui voulait me connaitre..(j'avais alors 26ans)


Cher Toi,


Pour ma part j'ai déjà 26 ans, 1m80, 70Kg, châtain clair, look bcbg/décontracté entre autres choses et ni imberbe, ni folle, ni ghetto...
A mon écriture bien que belle, je préfère l'érotisme froid du clavier de l'ordinateur, seul compagnon de mes heures présentes.Je joue avec, discute avec, travaille avec et surtout écris mes pièces de théâtre et romans avec.
Ceci pour expliquer ce support informel qui peut rendre ma lettre inhumaine à première vue. Aussi je vais y mettre des choses un peu plus personnelles que d'habitude en espérant réponse, photo et une accroche avec le garçon que je te soupçonne d'être.
Je sors de la douche. Chaleur et humidité sont pour moi l'environnement adéquate pour y faire défiler des images évocatrices et des voluptés dont on aime être dépendant. Cette mise en forme dont les effluves de gel sont maintenant les seuls souvenirs m'a mis en condition pour te donner une nouvelle part de mon autobiographie qui te guidera sur la quête du Graal...
Je suis dans le pays saumurois depuis un an. Il s'y passe beaucoup d'activités estivales empreintes de moyen-age, bourgeoisies féodales, de cavalerie, de discipline militaire.Mais en hiver peu de chose, il ne reste que - ce n'est pas rien - cette bienveillante douceur de vivre faite de gastronomie, calme, fruit de la vigne et de multiples activités associatives qui ont leur origine dans les patronages existant au temps des champignonnières et des vendanges, métayages, etc...Il me manque donc un peu de chaleur humaine, un peu de fantaisie des grandes villes (on ne peut pas tout avoir). Mais je cherche... toi ? Que rechercherais-je ? Tu sembles correspondre aux critères physiques de certains jeunes hommes que je croise dans certains de mes songes mais j'en sais peu de toi. Etudiant ? Que veux tu faire de ta vie et quel crédit portes-tu à ces courriers ? Oseras tu me rencontrer même pour le simple plaisir de communiquer ? Ta lettre était polissonne et je conviens de tes prédispositions à faire apprécier ta souplesse dans d'autres disciplines. Et à coté de tout cela très cher correspondant, il y a quoi ? D'autres fantasmes (je t'expliquerais les miens plus loin !). Origine ? Tes hobbies et passions, activités sportives ou autres ? Peut-être peux-tu m'en apprendre sur ce qui te pousses à me répondre et ce qui te mène à rechercher la compagnie des mecs. Et me posant ces mêmes questions dont tu dois attendre les réponses à ton tour, j'ouvre donc ne t'en déplaise un peu plus loin mon livre d'histoire(s)...
Je partage un curieux comportement sexuel qui peux te convaincre de venir t'initier avec moi à beaucoup de tendresses et de nouveautés, j'en remonte pour la première fois l'origine pour toi (l'érotisme devrait s'en dégager). Mes parents dans le milieu médical ne se sont jamais inquiétés de me voir jusqu'à 15 ans continuer à être malpropre. Le pipi au lit moins fréquent dans la journée, je ne portais pas mes couches comme pour la nuit et hormis quelques accidents à l'école, on ne s'en préoccupa pas avant.Puis se fut les plus grandes classes et mon sommeil profond ne me passait pas. Les culottes plastiques grandissaient et évoluaient au fur et à mesure... Le matin, souvent mon sexe chaud se complaisait dans la moiteur et le pédopsychiatre n'y changeait rien. Et si les choses me passèrent un temps cela tenait plus des petites vexations en classes de mer ou en colonies de vacances où je ne prenais pas de changes et de couches droites rectangulaires pour me garnir, car elles encombraient mes valises et étaient peu discrètes.L'adolescence devait me faire évoluer et, comme de fait l'idée de devenir plus grand me troublait, aller bouleverser ma vision sur ce problème d'énurésie. J'allais en grandes vacances avec mes cousins à la campagne, eux connaissaient mon handicap mais l'acceptaient mieux qu'en colo où mon sac de couchage n'avait pas toujours le temps de sécher tant je "transpirais" dedans.Un peu gêné d'enfiler une couche plastique à pressions pour la nuit avant de rejoindre le dortoir avec mon frère et mes trois cousins chaque soir. Tout cela ne nous empêchaient pas de faire les batailles de polochons que tous les gosses font (dans l'affolement il n'était pas rare que l'on m'arrache mon lange, les rires que les grands nous déclenchaient faisaient quelquefois que l'on se faisait dessus avec où sans couche. Ce chahut agaçait ma grand-mère tout comme l'agaçait les moqueries de julien à mon sujet sur mon "gros cul" comme il disait.C'était pourtant celui avec lequel je m'entendais le mieux et qui était de mon âge.Le jour de mes 12 ans, ma grand-mère avait fait son éternel Savoie avec la mousse au chocolat et nous fîmes un goûter mémorable d'où julien et moi ressortions marron de la tête aux pieds. Dans une dernière moquerie il lança à mon adresse "on croirait que tu as chié dans ton froc, va chercher ta couche !" devant les petites voisines jumelles qui étaient invitées pour la première fois et ne connaissaient rien de tout cela. Franchement honteux, ma grand-mère compatissante à mon égard, et comprenant l'humiliation devant nos petites fiancées et ce qu'ils allaient dire à leur parents, prit la décision de l'offenser à son tour en l'obligeant à porter lui aussi une couche culotte une semaine durant.Nous dormions cette année là dans le même lit et je devais surveiller ça... En "chenapan", comme disait "la vieille" comme disait julien, il me semblait qu'il renfermait sa vexation puis je compris vite qu'il s'agissait d'autre chose lorsqu'en pleine nuit il me dit "Je suis trempé, j'ai voulu essayé et ça me donne la trique." Il se caressait et me caressa le cul puis devant le petit paquet enrobé dans la ouate jusqu'alors sèche. Je me laissais faire. Tant et si bien que ce fut mon premier orgasme dans ma couche peu de temps après avoir constaté le sien.Nous avons parlé toute la nuit des filles et de nous. Mon petit cul et mes pyjamas de coton faisant paraître mon cul rebondit l'excitait depuis le début des vacances en question et...Nous nous sommes détournés des voisines et des cousins et frères pour gambader dans les prés quelquefois même nous y allions en couche.L'année suivante nous grandissions encore, nous plaisions plus encore à nos jeux en découvrions d'autre. Son homosexualité s'affirmait avec la mienne (nous nous sucions, caressions et continuions de nous doucher ensemble et dormir ensemble, sortir ensemble sans que réellement personne ne s'en offusque vraiment on nous appelait les frères Bogdanov car nous étions fous de sciences fiction aussi). Ce fut mon premier chéri jusqu'à 16 ans, où il connu un autre garçon puis se tua en mobylette. Tristesse...
Plus tard, j'ai connu un autre garçon avec qui j'ai jouer à ces jeux humides vers 19 ans.Cette fois-ci j'étais étudiant en fac et lui était le jardinier qui s'occupait de la résidence où j'avais une chambre au rez-de-chaussée. Il me surprit un matin au réveil à moitié bandant dans mon caleçon en coton alors qu'il rempotait des fleurs dans les plates bandes qui entouraient les bâtiments et observa pour confirmer ce qu'il voyait. Sortant nu de la salle de bain je le détectais dans un angle de la fenêtre se masturbant dans sa combinaison jaune.M'excitant je le fis rentrer par la fenêtre et nous primes une première fois notre pied ensemble.C'était quant à lui un bisexuel en puissance mais qui n'avait jusque là jamais osé ou eut l'occasion de franchir le pas.Il me confia qu'il avait eu beaucoup de mal en contenir son flegme à la piscine en colo ou lorsqu'il faisait du judo (en lutte ou dans les vestiaires avec quelques-uns de ses camarades).Quoiqu'il en soit il fantasmait sur les mecs en 501 caleçon blanc et baskets que je m'apprêtais à enfiler lorsque je l'avais surpris dans tous ses états. Il se disait très surpris par mon sexe "mignon petit et appétissant plus grand". Ce jeune garçon, Olivier, qui est maintenant marié, je l'ai revu dans un supermarché un jour, nous nous sommes vu, trop peu, les cinq derniers mois de mon cursus une fois par semaine.Il venait le jeudi matin et je savais que sous sa combinaison il n'y avait que son slip australien blanc se tendant dés que je posais la main sur lui. Je dégageais ses épaules bien dessinées et il lisait le plaisir que j'avais de la faire rouler jusqu'à sa taille où un élastique le cintrait.Ses cheveux bruns mis longs sentait l'herbe fraîchement coupée, bien souvent c'est le bruit de la tondeuse qui m'éveillait et m'excitait car il tondait toujours avant de venir me retrouver puis que l'on se douchent ensemble. Nous avions un malin plaisir à nous déshabiller dans la petite salle d'eau de la studette. Bien souvent nous terminions quasi habillés sous la douche, torse nu, avant de découvrir nos attributs respectifs. Son corps était magnifiquement dessiné et sa peau sucrée me ravisait. Il me disait souvent qu'il était fait pour moi même si je savais que ce que je savais lui faire il le faisait à des filles auparavant.Il avait été impressionné par mon sexe et n'avais de cesse de le goûter de sa bouche ou de son entre fessier ferme et coquin. De son coté il n'était pas spécialement bien gâté et cela facilitait quelques unes de ses entreprises pour me prendre à son tour (je supporte mal les gros calibres comme moi !) Les jeux de pipi sous la douche intervinrent bientôt à son initiative, déterrant mes désormais fantasmes latents en couche-culotte qui ne s'avèrent utiles que lorsque j'ai trop bu. Et je gardais cette habitude de dormir en couche-culotte que l'on fait aujourd'hui pour les incontinents et que l'on vend en grande surface, même mes parents les auraient appréciés et mon cousin Julien aussi. Cela me sert essentiellement lorsque j'ai trop bu en quantité, que par fainéantise je ne daigne pas me lever pour me soulager, au ski quant il fait froid dans ma combinaison... en fait le liquide chaud qui m'inonde me ravit.D'autre part mes rêves érotiques mettant en scène différentes scènes uro, je pense utile de les garder de nuit et j'en mets quelquefois en journée par plaisir de l'excitation que ça me provoque...Olivier trouva ça drôle bientôt et il se décida à son tour à enfiler un change complet car sa cambrure renforcée me suggérait beaucoup de choses. il m'enlevait mon jeans déchirait la couche pour me lécher le cul et le gland mais toujours c'est moi qui le prenait premier (une fois sur deux la couche était imbibée d'urine et du foutre de ses 17 ans) sa peau était douce, imberbe et il se montrait docile et charmant. Son regard noisette me demandait ensuite de lui rendre la pareille et nous restions unis jusque midi où je devais partir en cours, ravi pour une semaine...Mais je vis avec son souvenirUn jour profitant d'une fenêtre que j'avais mal refermée il s'introduisit dans mon appart et s'endormi nu comme un vers sur mon lit. Je le surpris à mon retour de cours, son entrejambe offerte à une habile excitation. Je me rappelle l'avoir pris en photo tellement la lumière mettait en valeur le tableau de sa nudité. La lumière caressait l'une de ses fesse et le vent seul devait le ravir dans ses songes. M'approchant, je lui baisais l'autre fesse pour lui décocher un sourire puis une érection.Ensuite il me guida dans un demi sommeil et nous nous sommes endormis pour la nuit sans avoir pu contenir notre sommeil et l'amour de nos deux corps chauds. Le lendemain, il s'en suis une discussion car nous tombions dans une romanesque histoire qu'il ne voulait assumer au yeux de ses parents et avoir découcher une nuit pouvait lui poser problème.Je partais trois jours après en Corse pour trois semaines de vacances avec des amis. Il vint me rejoindre pour cette lune de miel où nous avons passé beaucoup de temps à alterner activités sportives et farniente langoureux en regardant les étoiles.Bien souvent les choses sont plus classiques bien que rares, j'ai eu un premier poste de communication interne qui me fit rencontrer un jeune eurasien, 22 ans, Steward, et qui m'a appris l'art du massage, l'utilisation du yin et du yang à la base de toute la civilisation orientale et en toute circonstances de la vie. D'aller en retour, j'en ai eu assez de vivre avec les horaires d'avion ou de la marée. Je dois reconnaître qu'il m'a laissé des souvenirs dont je suis un peu nostalgiques (des nuits de discussions débridées, des voyages plus vrais que ceux que nous avons fait en nature), une sensibilité et de la culture. Il avait en outre une imagination débordante et un corps auquel on ne pouvait résister : doux, imberbe, cambré, mignon... son plaisir était de se mettre torse nu avec un pantalon de toile cintré à la taille laissant entrevoir le reste de ses charmes : galbe de son fessier, angle des haines qui se creusent et dont la ligne abdominale flèche le centre du plaisir, un petit sexe mignon qu'on a envie de dorloter. Son sourire était son plus sérieux tout.Un autre de mes coquins fut un livreur de pizzas que j'ai eu la surprise de trouver dans mon "studio" (je vis en ce moment dans une chambre d'étudiant 25m2 car je pars en juin, où ?) sans l'avoir entendu entrer. Il me regardait sans parler en comprenant ce que je faisais très surpris et très curieux.J'écrivais ma dernière pièce, une comédie policière... Je le payais pour la pizza puis reparti au labeur.Et une demi-heure plus tard je crois il était encore là dans un fauteuil pas loin de l'ordinateur et me surpris une nouvelle fois en disant "C'est génial !". Allumant l'halogène un peu plus fort, j'ai découvert son minois et il trouva que ces mots à me dire pour justifier sa présence "Y'a pas de problème, le lundi on n'a pas beaucoup de livraison." Puis, "Je peux vous réchauffer la pizza si vous voulez..."Que voulais-je ? J'étais partagé par continuer pour le faire rester et continuer sur mon inspiration auquel cas il me troublerais de nouveau... le pousser dehors car enfin... puis il trouva le four des yeux et pris la pizza pour la mettre dedans toute en m'interrogeant sur depuis quand j'écrivais, si j'en vivais (non pas encore !)... Après avoir répondu correctement, j'en appris de lui en lui offrant l'apéro tout en le détaillant. Un petit blond avec deux boutons, un dans le cou et un sur la tempe, les yeux bleus avec de petites lunettes... Une combinaison rouge qui me rappela celle de mon jardinier je pense. Le casque l'avait ébouriffé mais il était craquant sentait la pizza... Je terminais ma scène (elle serait à refaire mais je voulais me rafraîchir les idées) avant de partager ma pizza avec lui. Il trouva une pile de magazine et je ne l'entendais plus jusqu'à "Tiens, j'ai jamais essayé ça." En me retournant, il avait un magazine Gay "Idol" que j'avais acheté il y a six mois et dont j'avais perdu la trace, car je suis malgré tout naturellement discret vis à vis de mon entourage.Je ne savais quoi répondre avant qu'il me provoque "En plus tu en es ?". Il compulsait avec un doigt l'ouvrage puis s'arrêta sur un mec qui disait il me ressemblait (je suis pas mal mais pas du tout le type des magazines...) Mais ça l'excitait. je lui proposait donc de se rafraîchir devant un deuxième apéro à la suite duquel il pris l'initiative de m'embrasser dans le cou pendant que je fermais proprement l'ordinateur. Je ne pouvais croire qu'il n'avait jamais touché un mec de la manière dont il s'y est pris. Il dégrafa ma chemise, collant son torse sur le dos. Quant je me suis retourné pour stopper ses ardeurs le jugeant trop jeune ("peu convaincu" par ses 21 ans), il avait ôté ses lunettes et je n'ai pu que constater que l'apéro lui avait ouvert l'appétit.Ces yeux luisaient, sa combinaison se tendait. Il s'agenouilla et pris soin de me dire "fais-moi l'amour" puis m'embrassa le temps qu'il me fallait pour trouver le zip de sa combinaison. Il était tout mince mais bien dessiné. Tremblant de désir, il récupéra dans sa combinaison un chapelet de capotes (?).Il était à présent nu en slip blanc élégant et aéré et moi torse nu en jeans. Il sauta tel un cabri sous la couette et m'engagea à le rejoindre. Mes doigts ne s'étaient pas depuis longtemps exercés aux massages et je tentais de lui expliquer ce que j'allais lui faire lorsqu'il jouit abondamment... Je n'avais pas encore glisser son slip qui maintenant était trempé. Je l'ai alors condamné à venir manger nu en face de moi pour le punir.Je ne cessais de le regarder sans parler, observant le retour de sa flamme et il me parla tout seul de ces expériences malheureuses avec les filles (car trop rapide) et ses jeux furtifs avec un copain de cours avec lequel il avait en autre passion commune les jeux de karaté sur console vidéo. Très vite il avait institué des gages de déshabillage et de tortures douces, jeux sexuels inavoués. Je lui ai raconté tout ce que je viens de te dire, il en fut très amusé, il pris sa douche puis parti rendre la mobylette et rentra chez lui. Le lendemain j'avais un message sur répondeur il avait essayé de me joindre pour venir avec ce copain. Et le surlendemain, il revint seul avec l'espoir de connaître plus...Il avait la nuit à m'offrir. Une nuit de feu dont je te dirais peut-être plus un jour à moins que tu veuilles en faire aussi l'expérience. Je dirais simplement que il s'avéra aussi souple que curieux de tout...Livreur de pizza il l'était pendant les vacances scolaires et celles de février sont passées sans que j'ai eu de nouvelles, dommage !J' ai rencontré récemment un danseur de petite stature qui explique le retard de ma lettre et qui est venu en tournée en France avant son retour en Colombie. Il m'a amené de l'exotisme et la chaleur humaine que je recherchais lors de notre dialogue sur réseau. Il a malheureusement repris ses bagages avec un peu de moi dedans et va retrouver son copain la-bas. De petite stature, il volait de main en main dans ses ballets avec grâce et application. Tant de passion pour son corps devrait me donner des leçons sur l'hygiène de vie, car tu l'auras compris mes nourritures sont essentiellement spirituelles malgré tout... Je recherche à trouver chez toi, chez l'autre, une locomotive sur cet aspect d'autant qu'on m'a récemment volé ma paire de basket dans ma voiture...En fait, aujourd'hui, je recherche une ou des personnes pouvant partager mes délires et je souhaiterais que tu me répondes sous la forme d'une proposition à un plaisir ensemble, une découverte, j'attends donc un descriptif ou une photo avant de te communiquer la mienne (je ne suis pas moche, promis, mais plutôt agréable !).Allez Bisous Damien !