samedi 3 mai 2008

Ma première histoire je l'ai fait sous la forme d'une lettre à un garçon qui voulait me connaitre..(j'avais alors 26ans)


Cher Toi,


Pour ma part j'ai déjà 26 ans, 1m80, 70Kg, châtain clair, look bcbg/décontracté entre autres choses et ni imberbe, ni folle, ni ghetto...
A mon écriture bien que belle, je préfère l'érotisme froid du clavier de l'ordinateur, seul compagnon de mes heures présentes.Je joue avec, discute avec, travaille avec et surtout écris mes pièces de théâtre et romans avec.
Ceci pour expliquer ce support informel qui peut rendre ma lettre inhumaine à première vue. Aussi je vais y mettre des choses un peu plus personnelles que d'habitude en espérant réponse, photo et une accroche avec le garçon que je te soupçonne d'être.
Je sors de la douche. Chaleur et humidité sont pour moi l'environnement adéquate pour y faire défiler des images évocatrices et des voluptés dont on aime être dépendant. Cette mise en forme dont les effluves de gel sont maintenant les seuls souvenirs m'a mis en condition pour te donner une nouvelle part de mon autobiographie qui te guidera sur la quête du Graal...
Je suis dans le pays saumurois depuis un an. Il s'y passe beaucoup d'activités estivales empreintes de moyen-age, bourgeoisies féodales, de cavalerie, de discipline militaire.Mais en hiver peu de chose, il ne reste que - ce n'est pas rien - cette bienveillante douceur de vivre faite de gastronomie, calme, fruit de la vigne et de multiples activités associatives qui ont leur origine dans les patronages existant au temps des champignonnières et des vendanges, métayages, etc...Il me manque donc un peu de chaleur humaine, un peu de fantaisie des grandes villes (on ne peut pas tout avoir). Mais je cherche... toi ? Que rechercherais-je ? Tu sembles correspondre aux critères physiques de certains jeunes hommes que je croise dans certains de mes songes mais j'en sais peu de toi. Etudiant ? Que veux tu faire de ta vie et quel crédit portes-tu à ces courriers ? Oseras tu me rencontrer même pour le simple plaisir de communiquer ? Ta lettre était polissonne et je conviens de tes prédispositions à faire apprécier ta souplesse dans d'autres disciplines. Et à coté de tout cela très cher correspondant, il y a quoi ? D'autres fantasmes (je t'expliquerais les miens plus loin !). Origine ? Tes hobbies et passions, activités sportives ou autres ? Peut-être peux-tu m'en apprendre sur ce qui te pousses à me répondre et ce qui te mène à rechercher la compagnie des mecs. Et me posant ces mêmes questions dont tu dois attendre les réponses à ton tour, j'ouvre donc ne t'en déplaise un peu plus loin mon livre d'histoire(s)...
Je partage un curieux comportement sexuel qui peux te convaincre de venir t'initier avec moi à beaucoup de tendresses et de nouveautés, j'en remonte pour la première fois l'origine pour toi (l'érotisme devrait s'en dégager). Mes parents dans le milieu médical ne se sont jamais inquiétés de me voir jusqu'à 15 ans continuer à être malpropre. Le pipi au lit moins fréquent dans la journée, je ne portais pas mes couches comme pour la nuit et hormis quelques accidents à l'école, on ne s'en préoccupa pas avant.Puis se fut les plus grandes classes et mon sommeil profond ne me passait pas. Les culottes plastiques grandissaient et évoluaient au fur et à mesure... Le matin, souvent mon sexe chaud se complaisait dans la moiteur et le pédopsychiatre n'y changeait rien. Et si les choses me passèrent un temps cela tenait plus des petites vexations en classes de mer ou en colonies de vacances où je ne prenais pas de changes et de couches droites rectangulaires pour me garnir, car elles encombraient mes valises et étaient peu discrètes.L'adolescence devait me faire évoluer et, comme de fait l'idée de devenir plus grand me troublait, aller bouleverser ma vision sur ce problème d'énurésie. J'allais en grandes vacances avec mes cousins à la campagne, eux connaissaient mon handicap mais l'acceptaient mieux qu'en colo où mon sac de couchage n'avait pas toujours le temps de sécher tant je "transpirais" dedans.Un peu gêné d'enfiler une couche plastique à pressions pour la nuit avant de rejoindre le dortoir avec mon frère et mes trois cousins chaque soir. Tout cela ne nous empêchaient pas de faire les batailles de polochons que tous les gosses font (dans l'affolement il n'était pas rare que l'on m'arrache mon lange, les rires que les grands nous déclenchaient faisaient quelquefois que l'on se faisait dessus avec où sans couche. Ce chahut agaçait ma grand-mère tout comme l'agaçait les moqueries de julien à mon sujet sur mon "gros cul" comme il disait.C'était pourtant celui avec lequel je m'entendais le mieux et qui était de mon âge.Le jour de mes 12 ans, ma grand-mère avait fait son éternel Savoie avec la mousse au chocolat et nous fîmes un goûter mémorable d'où julien et moi ressortions marron de la tête aux pieds. Dans une dernière moquerie il lança à mon adresse "on croirait que tu as chié dans ton froc, va chercher ta couche !" devant les petites voisines jumelles qui étaient invitées pour la première fois et ne connaissaient rien de tout cela. Franchement honteux, ma grand-mère compatissante à mon égard, et comprenant l'humiliation devant nos petites fiancées et ce qu'ils allaient dire à leur parents, prit la décision de l'offenser à son tour en l'obligeant à porter lui aussi une couche culotte une semaine durant.Nous dormions cette année là dans le même lit et je devais surveiller ça... En "chenapan", comme disait "la vieille" comme disait julien, il me semblait qu'il renfermait sa vexation puis je compris vite qu'il s'agissait d'autre chose lorsqu'en pleine nuit il me dit "Je suis trempé, j'ai voulu essayé et ça me donne la trique." Il se caressait et me caressa le cul puis devant le petit paquet enrobé dans la ouate jusqu'alors sèche. Je me laissais faire. Tant et si bien que ce fut mon premier orgasme dans ma couche peu de temps après avoir constaté le sien.Nous avons parlé toute la nuit des filles et de nous. Mon petit cul et mes pyjamas de coton faisant paraître mon cul rebondit l'excitait depuis le début des vacances en question et...Nous nous sommes détournés des voisines et des cousins et frères pour gambader dans les prés quelquefois même nous y allions en couche.L'année suivante nous grandissions encore, nous plaisions plus encore à nos jeux en découvrions d'autre. Son homosexualité s'affirmait avec la mienne (nous nous sucions, caressions et continuions de nous doucher ensemble et dormir ensemble, sortir ensemble sans que réellement personne ne s'en offusque vraiment on nous appelait les frères Bogdanov car nous étions fous de sciences fiction aussi). Ce fut mon premier chéri jusqu'à 16 ans, où il connu un autre garçon puis se tua en mobylette. Tristesse...
Plus tard, j'ai connu un autre garçon avec qui j'ai jouer à ces jeux humides vers 19 ans.Cette fois-ci j'étais étudiant en fac et lui était le jardinier qui s'occupait de la résidence où j'avais une chambre au rez-de-chaussée. Il me surprit un matin au réveil à moitié bandant dans mon caleçon en coton alors qu'il rempotait des fleurs dans les plates bandes qui entouraient les bâtiments et observa pour confirmer ce qu'il voyait. Sortant nu de la salle de bain je le détectais dans un angle de la fenêtre se masturbant dans sa combinaison jaune.M'excitant je le fis rentrer par la fenêtre et nous primes une première fois notre pied ensemble.C'était quant à lui un bisexuel en puissance mais qui n'avait jusque là jamais osé ou eut l'occasion de franchir le pas.Il me confia qu'il avait eu beaucoup de mal en contenir son flegme à la piscine en colo ou lorsqu'il faisait du judo (en lutte ou dans les vestiaires avec quelques-uns de ses camarades).Quoiqu'il en soit il fantasmait sur les mecs en 501 caleçon blanc et baskets que je m'apprêtais à enfiler lorsque je l'avais surpris dans tous ses états. Il se disait très surpris par mon sexe "mignon petit et appétissant plus grand". Ce jeune garçon, Olivier, qui est maintenant marié, je l'ai revu dans un supermarché un jour, nous nous sommes vu, trop peu, les cinq derniers mois de mon cursus une fois par semaine.Il venait le jeudi matin et je savais que sous sa combinaison il n'y avait que son slip australien blanc se tendant dés que je posais la main sur lui. Je dégageais ses épaules bien dessinées et il lisait le plaisir que j'avais de la faire rouler jusqu'à sa taille où un élastique le cintrait.Ses cheveux bruns mis longs sentait l'herbe fraîchement coupée, bien souvent c'est le bruit de la tondeuse qui m'éveillait et m'excitait car il tondait toujours avant de venir me retrouver puis que l'on se douchent ensemble. Nous avions un malin plaisir à nous déshabiller dans la petite salle d'eau de la studette. Bien souvent nous terminions quasi habillés sous la douche, torse nu, avant de découvrir nos attributs respectifs. Son corps était magnifiquement dessiné et sa peau sucrée me ravisait. Il me disait souvent qu'il était fait pour moi même si je savais que ce que je savais lui faire il le faisait à des filles auparavant.Il avait été impressionné par mon sexe et n'avais de cesse de le goûter de sa bouche ou de son entre fessier ferme et coquin. De son coté il n'était pas spécialement bien gâté et cela facilitait quelques unes de ses entreprises pour me prendre à son tour (je supporte mal les gros calibres comme moi !) Les jeux de pipi sous la douche intervinrent bientôt à son initiative, déterrant mes désormais fantasmes latents en couche-culotte qui ne s'avèrent utiles que lorsque j'ai trop bu. Et je gardais cette habitude de dormir en couche-culotte que l'on fait aujourd'hui pour les incontinents et que l'on vend en grande surface, même mes parents les auraient appréciés et mon cousin Julien aussi. Cela me sert essentiellement lorsque j'ai trop bu en quantité, que par fainéantise je ne daigne pas me lever pour me soulager, au ski quant il fait froid dans ma combinaison... en fait le liquide chaud qui m'inonde me ravit.D'autre part mes rêves érotiques mettant en scène différentes scènes uro, je pense utile de les garder de nuit et j'en mets quelquefois en journée par plaisir de l'excitation que ça me provoque...Olivier trouva ça drôle bientôt et il se décida à son tour à enfiler un change complet car sa cambrure renforcée me suggérait beaucoup de choses. il m'enlevait mon jeans déchirait la couche pour me lécher le cul et le gland mais toujours c'est moi qui le prenait premier (une fois sur deux la couche était imbibée d'urine et du foutre de ses 17 ans) sa peau était douce, imberbe et il se montrait docile et charmant. Son regard noisette me demandait ensuite de lui rendre la pareille et nous restions unis jusque midi où je devais partir en cours, ravi pour une semaine...Mais je vis avec son souvenirUn jour profitant d'une fenêtre que j'avais mal refermée il s'introduisit dans mon appart et s'endormi nu comme un vers sur mon lit. Je le surpris à mon retour de cours, son entrejambe offerte à une habile excitation. Je me rappelle l'avoir pris en photo tellement la lumière mettait en valeur le tableau de sa nudité. La lumière caressait l'une de ses fesse et le vent seul devait le ravir dans ses songes. M'approchant, je lui baisais l'autre fesse pour lui décocher un sourire puis une érection.Ensuite il me guida dans un demi sommeil et nous nous sommes endormis pour la nuit sans avoir pu contenir notre sommeil et l'amour de nos deux corps chauds. Le lendemain, il s'en suis une discussion car nous tombions dans une romanesque histoire qu'il ne voulait assumer au yeux de ses parents et avoir découcher une nuit pouvait lui poser problème.Je partais trois jours après en Corse pour trois semaines de vacances avec des amis. Il vint me rejoindre pour cette lune de miel où nous avons passé beaucoup de temps à alterner activités sportives et farniente langoureux en regardant les étoiles.Bien souvent les choses sont plus classiques bien que rares, j'ai eu un premier poste de communication interne qui me fit rencontrer un jeune eurasien, 22 ans, Steward, et qui m'a appris l'art du massage, l'utilisation du yin et du yang à la base de toute la civilisation orientale et en toute circonstances de la vie. D'aller en retour, j'en ai eu assez de vivre avec les horaires d'avion ou de la marée. Je dois reconnaître qu'il m'a laissé des souvenirs dont je suis un peu nostalgiques (des nuits de discussions débridées, des voyages plus vrais que ceux que nous avons fait en nature), une sensibilité et de la culture. Il avait en outre une imagination débordante et un corps auquel on ne pouvait résister : doux, imberbe, cambré, mignon... son plaisir était de se mettre torse nu avec un pantalon de toile cintré à la taille laissant entrevoir le reste de ses charmes : galbe de son fessier, angle des haines qui se creusent et dont la ligne abdominale flèche le centre du plaisir, un petit sexe mignon qu'on a envie de dorloter. Son sourire était son plus sérieux tout.Un autre de mes coquins fut un livreur de pizzas que j'ai eu la surprise de trouver dans mon "studio" (je vis en ce moment dans une chambre d'étudiant 25m2 car je pars en juin, où ?) sans l'avoir entendu entrer. Il me regardait sans parler en comprenant ce que je faisais très surpris et très curieux.J'écrivais ma dernière pièce, une comédie policière... Je le payais pour la pizza puis reparti au labeur.Et une demi-heure plus tard je crois il était encore là dans un fauteuil pas loin de l'ordinateur et me surpris une nouvelle fois en disant "C'est génial !". Allumant l'halogène un peu plus fort, j'ai découvert son minois et il trouva que ces mots à me dire pour justifier sa présence "Y'a pas de problème, le lundi on n'a pas beaucoup de livraison." Puis, "Je peux vous réchauffer la pizza si vous voulez..."Que voulais-je ? J'étais partagé par continuer pour le faire rester et continuer sur mon inspiration auquel cas il me troublerais de nouveau... le pousser dehors car enfin... puis il trouva le four des yeux et pris la pizza pour la mettre dedans toute en m'interrogeant sur depuis quand j'écrivais, si j'en vivais (non pas encore !)... Après avoir répondu correctement, j'en appris de lui en lui offrant l'apéro tout en le détaillant. Un petit blond avec deux boutons, un dans le cou et un sur la tempe, les yeux bleus avec de petites lunettes... Une combinaison rouge qui me rappela celle de mon jardinier je pense. Le casque l'avait ébouriffé mais il était craquant sentait la pizza... Je terminais ma scène (elle serait à refaire mais je voulais me rafraîchir les idées) avant de partager ma pizza avec lui. Il trouva une pile de magazine et je ne l'entendais plus jusqu'à "Tiens, j'ai jamais essayé ça." En me retournant, il avait un magazine Gay "Idol" que j'avais acheté il y a six mois et dont j'avais perdu la trace, car je suis malgré tout naturellement discret vis à vis de mon entourage.Je ne savais quoi répondre avant qu'il me provoque "En plus tu en es ?". Il compulsait avec un doigt l'ouvrage puis s'arrêta sur un mec qui disait il me ressemblait (je suis pas mal mais pas du tout le type des magazines...) Mais ça l'excitait. je lui proposait donc de se rafraîchir devant un deuxième apéro à la suite duquel il pris l'initiative de m'embrasser dans le cou pendant que je fermais proprement l'ordinateur. Je ne pouvais croire qu'il n'avait jamais touché un mec de la manière dont il s'y est pris. Il dégrafa ma chemise, collant son torse sur le dos. Quant je me suis retourné pour stopper ses ardeurs le jugeant trop jeune ("peu convaincu" par ses 21 ans), il avait ôté ses lunettes et je n'ai pu que constater que l'apéro lui avait ouvert l'appétit.Ces yeux luisaient, sa combinaison se tendait. Il s'agenouilla et pris soin de me dire "fais-moi l'amour" puis m'embrassa le temps qu'il me fallait pour trouver le zip de sa combinaison. Il était tout mince mais bien dessiné. Tremblant de désir, il récupéra dans sa combinaison un chapelet de capotes (?).Il était à présent nu en slip blanc élégant et aéré et moi torse nu en jeans. Il sauta tel un cabri sous la couette et m'engagea à le rejoindre. Mes doigts ne s'étaient pas depuis longtemps exercés aux massages et je tentais de lui expliquer ce que j'allais lui faire lorsqu'il jouit abondamment... Je n'avais pas encore glisser son slip qui maintenant était trempé. Je l'ai alors condamné à venir manger nu en face de moi pour le punir.Je ne cessais de le regarder sans parler, observant le retour de sa flamme et il me parla tout seul de ces expériences malheureuses avec les filles (car trop rapide) et ses jeux furtifs avec un copain de cours avec lequel il avait en autre passion commune les jeux de karaté sur console vidéo. Très vite il avait institué des gages de déshabillage et de tortures douces, jeux sexuels inavoués. Je lui ai raconté tout ce que je viens de te dire, il en fut très amusé, il pris sa douche puis parti rendre la mobylette et rentra chez lui. Le lendemain j'avais un message sur répondeur il avait essayé de me joindre pour venir avec ce copain. Et le surlendemain, il revint seul avec l'espoir de connaître plus...Il avait la nuit à m'offrir. Une nuit de feu dont je te dirais peut-être plus un jour à moins que tu veuilles en faire aussi l'expérience. Je dirais simplement que il s'avéra aussi souple que curieux de tout...Livreur de pizza il l'était pendant les vacances scolaires et celles de février sont passées sans que j'ai eu de nouvelles, dommage !J' ai rencontré récemment un danseur de petite stature qui explique le retard de ma lettre et qui est venu en tournée en France avant son retour en Colombie. Il m'a amené de l'exotisme et la chaleur humaine que je recherchais lors de notre dialogue sur réseau. Il a malheureusement repris ses bagages avec un peu de moi dedans et va retrouver son copain la-bas. De petite stature, il volait de main en main dans ses ballets avec grâce et application. Tant de passion pour son corps devrait me donner des leçons sur l'hygiène de vie, car tu l'auras compris mes nourritures sont essentiellement spirituelles malgré tout... Je recherche à trouver chez toi, chez l'autre, une locomotive sur cet aspect d'autant qu'on m'a récemment volé ma paire de basket dans ma voiture...En fait, aujourd'hui, je recherche une ou des personnes pouvant partager mes délires et je souhaiterais que tu me répondes sous la forme d'une proposition à un plaisir ensemble, une découverte, j'attends donc un descriptif ou une photo avant de te communiquer la mienne (je ne suis pas moche, promis, mais plutôt agréable !).Allez Bisous Damien !

Aucun commentaire: